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Final Four de Basket 2025 : Monaco assiégée, le Sultan Hayes-Davis conquiert le Rocher à coups de dunk

défaite de Monaco contre Istanbul dans le Final Four 2025 www.lequipeb.fr

Monaco assiégée, le Sultan Hayes-Davis conquiert le Rocher à coups de dunk

Finale d’Euroligue : Fenerbahçe renverse Monaco et réécrit l’Histoire… version Ottoman Sports Network


⚔️ Constantinople 2.0 : Le retour de l’Empire (en short et avec des mollets gonflés)

Abu Dhabi – Dimanche soir, 21h47. Dans un silence pesant sur les riches âmes monégasques, le dernier tir raté de Mike James scelle le destin d’une principauté à genoux. Le parquet de l’Etihad Arena se transforme alors en Place Taksim de la joie sportive, et c’est sous les cris de « Hayes Pacha ! Hayes Pacha ! » que les joueurs de Fenerbahçe entament leur danse de la victoire, broche de kebab géante en main.

Dans les tribunes, une délégation venue d’Istanbul brandit un drapeau ottoman sur lequel un ballon de basket remplace le croissant. Oui, l’Histoire est formelle : la reconquête du Rocher vient de se produire… sans sabre, mais avec un excellent ratio rebonds/tirs.

🗣️ “Nous avons suivi les traces de Mehmed II. Mais lui, il avait des canons. Nous, on a Devon Hall.” – Sarunas Jasikevicius, coach de Fenerbahçe et nouveau sultan autoproclamé d’Abu Dhabi.


🌊 Le Bosphore submerge la Méditerranée de luxe

Côté Monaco, l’ambiance est à la noyade fiscale. Malgré une entame flamboyante (13-4), la vague turque emmenée par Marko “le Vizir” Guduric et Nigel “Sultan Smash” Hayes-Davis a vite calmé les ardeurs princières. Le Rocher s’est peu à peu transformé en caillou glissant, et les yachts du scoring ont coulé les uns après les autres dans la mer de l’échec collectif.

Alpha Diallo, en tragédien grec de la ligne de fond, s’est couvert le visage d’une serviette immaculée, probablement pour ne pas voir les PV de la défense turque qui s’accumulaient sur les pare-brises des Ferrari locales.

🗣️ “On a eu droit à un tsunami. Et moi, je ne sais pas nager dans l’huile de cuisson du kebab.” – Un supporter monégasque en claquettes Gucci.


🧄 Sauce blanche, bide noir : le match d’Élie Okobo

Si certains joueurs ont tenté de contenir l’invasion ottomane, d’autres ont préféré passer en mode Uber Eats. C’est le cas d’Élie Okobo, dont la feuille de match pourrait se résumer ainsi : 0 point, 0 réussite, 0 regret, mais 5 passes pour l’équipe d’en face. Une performance saluée par les statisticiens turcs comme “un geste diplomatique fort”.

Dans les travées, des fans du Fenerbahçe ont scandé :
“Okobo bizim adam!” (Okobo est des nôtres !)
Pendant ce temps, son maillot était retiré et envoyé directement à la buanderie de Galatasaray.


🛫 Turkish Airlines décolle, Monaco reste sur le tarmac

Avec ce deuxième titre continental, Fenerbahçe confirme sa place de leader du « Bosphore Basketball Club », à l’instar de l’Anadolu Efes sacré deux fois en 2021 et 2022.
Pendant que Turkish Airlines planait sur l’Euroligue, l’aviation monégasque restait clouée au sol, faute de décollage dans le troisième quart-temps.

🗣️ “On a bien reçu l’autorisation de voler… mais seulement en hélico vers Saint-Tropez.” – Mike James, philosophe aérien du sport de haut niveau.


🧾 Une déclaration d’échec non imposable

La défaite de Monaco, malgré une montée en puissance sur plusieurs saisons (quarts en 2022, Final Four en 2023, finale en 2025), laisse un goût amer de foie gras mal digéré. Mais que les supporters se rassurent :
👉 l’échec, en Principauté, est exonéré d’impôts.
Et ça, c’est peut-être la plus belle victoire du Rocher.

🗣️ “On perd, mais on reste riches. Eux gagnent, mais devront déclarer ça au fisc d’Ankara.” – Un fan local, en train de se sécher les yeux avec des billets de 500€


🔚 Prolongation

À suivre dans nos prochaines parodies sportives :

  • « L’Empire Ottoman contre les Habsbourg du Handball »
  • « Les Émirats rachètent la LFP et organisent le Classique sur Mars »
  • « Mike James signe chez les Harlem Globetrotters pour enfin gagner quelque chose »


En vrai 🏀 Euroligue : Monaco s’incline en finale face à Fenerbahçe et voit son rêve s’envoler

Abu Dhabi, 25 mai 2025 – Le rêve européen de l’AS Monaco Basket s’est brisé dimanche soir à l’Etihad Arena, balayé par une formation de Fenerbahçe redoutablement efficace (70-81). Malgré un début de match prometteur, les Monégasques ont cédé face à l’intensité physique et au sang-froid des Turcs, emmenés par un Nigel Hayes-Davis étincelant (23 points, 9 rebonds), désigné MVP du Final Four.

La déception était immense dans les rangs monégasques. Allongé sur les panneaux LED, Alpha Diallo tentait de masquer son visage derrière une serviette blanche, comme pour fuir le vacarme de la fête jaune qui avait déjà envahi le parquet. Pourtant, l’ailier a tout donné : 19 points, 3/4 à 3 points, et une combativité de chaque instant. Mais cela n’aura pas suffi.

Une finale à deux visages

Monaco avait pourtant bien entamé cette finale, prenant rapidement l’avantage (13-4, 5e minute). Mais ce départ tonitruant a été effacé par un temps fort magistral de Fenerbahçe, à la fin de la première mi-temps. Le moment charnière ? Un enchaînement tonitruant de Devon Hall (13 points) : dunk avec la faute, tir bonifié et un 15-1 infligé à des Monégasques sonnés (de 32-23 à 33-38 entre la 16e et la 22e minute).

Mike James, pourtant leader de cette équipe tout au long de la saison, est passé à côté de son match. S’il inscrit 17 points, il termine avec un 6/19 au tir et sa première passe décisive n’intervient qu’à la 35e minute. L’image de James consolant un Matthew Strazel en larmes, après un dernier tir à 3 points vain (64-69 à la 39e), restera l’une des scènes marquantes de cette soirée.

La défense turque, clé du succès

Le Fenerbahçe de Sarunas Jasikevicius a parfaitement verrouillé le jeu monégasque, en changeant systématiquement sur les écrans et en harcelant le porteur de balle. Un choix stratégique qui a fini par neutraliser une attaque souvent trop statique. « On a manqué notre momentum quand on était à +9. Et on n’a pas su bouger la balle comme il fallait », analysait à froid Vassilis Spanoulis, coach de l’ASM.

Le banc monégasque a aussi cruellement manqué d’impact : seulement 4 points inscrits, dont aucun par Élie Okobo, méconnaissable (0 point, 0/8 au tir). Dans un match aussi relevé, ce manque de profondeur a pesé lourd.

Un parcours historique malgré tout

La déception n’efface pas le parcours remarquable de l’AS Monaco, finaliste pour la première fois de son histoire. Après des quarts de finale en 2022, un Final Four en 2023, cette finale 2025 est une nouvelle étape franchie. « Le coach nous a dit qu’il était fier de nous. Ce n’est pas facile d’aller aussi loin, on doit relever la tête », confiait Mouhammadou Jaiteh après la rencontre.

L’AS Monaco va désormais devoir se reconcentrer sur les play-offs de Betclic Élite, avec un premier match dès mercredi contre Le Mans. Le club espère aussi pouvoir compter, la saison prochaine, sur l’arrivée annoncée de Nikola Mirotic, MVP de l’Euroligue en 2022, pour aller décrocher enfin le titre continental qui lui échappe encore.

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