🚲 Un triplé, une bicyclette, et des vacances en Bretagne
Dimanche soir, dans un Vélodrome en ébullition, Amine Gouiri a décidé de ne pas seulement marquer les esprits. Il a aussi marqué un triplé, dont une bicyclette digne de la Grande Boucle — sauf que cette fois, le col de Brest a été franchi sur le grand braqué.
« On avait annoncé une défaite de l’OM, on a eu un Tourmalet en descente pour les Marseillais », a commenté un supporter brestois, en train de chercher un ticket de TER pour fuir le replay.
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Le résumé sans déconne du match :
ChatGPT a dit :
🅑 PARTIE B – Le traitement réaliste (version longue)
Un OM conquérant, un Gouiri étincelant
L’Olympique de Marseille a confirmé ses ambitions européennes en s’imposant largement face au Stade Brestois (4-1), dimanche 27 avril 2025, en clôture de la 31e journée de Ligue 1. Grâce à cette victoire, les hommes de Roberto De Zerbi récupèrent la deuxième place du championnat, devançant Lille et Monaco dans une lutte serrée pour la qualification directe en Ligue des Champions.
Un match à sens unique après l’éclair de génie de Gouiri
Le tournant de la rencontre est survenu juste avant la mi-temps. À la 45e minute, Amine Gouiri a inscrit ce qui restera probablement comme l’un des plus beaux buts de la saison : un retourné acrobatique parfait, à la réception d’un centre en retrait de Greenwood. Ce geste a galvanisé le Vélodrome et offert à Marseille une avance psychologique aussi précieuse que le score lui-même. Il s’agissait du deuxième but de Gouiri dans la rencontre, qui allait en marquer un troisième en seconde période, complétant un triplé de grande classe.
Au total, l’OM a inscrit quatre buts, démontrant une efficacité offensive retrouvée. Les buts de Gouiri, combinés à une réalisation de Greenwood (sur frappe déviée), ont scellé le sort d’un Stade Brestois qui, après avoir égalisé à 1-1 par Abdallah Sima, n’a jamais semblé en mesure de reprendre le contrôle.
Une mise au vert bénéfique, des choix tactiques validés
Ce succès intervient après une mise au vert à Rome, décidée par le staff technique pour apaiser un vestiaire sous pression. Et le résultat semble payant. Les Marseillais ont affiché une discipline tactique accrue, notamment dans l’utilisation du 4-3-3. Mason Greenwood et Luis Henrique, en soutien de Gouiri, ont beaucoup contribué défensivement, un élément salué par les observateurs et les supporters.
L’équipe semble également avoir gagné en sérénité mentale. Après une période de flottement au cœur de la saison, l’OM semble mieux armé pour gérer les temps faibles et capitaliser sur ses temps forts.
Brest : la fatigue européenne et un effectif en bout de souffle
Côté brestois, ce match sonne comme un avertissement. Auteur d’une saison remarquable, le club de l’Ouest paye sans doute les efforts consentis en Ligue des Champions. Le rythme des matchs, la fatigue accumulée et un effectif plus limité expliquent en partie la baisse d’intensité affichée au Vélodrome.
L’entraîneur Éric Roy a tenté de garder le cap, mais l’impact physique et mental des grandes échéances européennes commence à se faire sentir, avec un manque de fraîcheur évident dans le repli défensif comme dans la relance.
Une course à l’Europe haletante
Avec seulement trois journées restantes, la course à la Ligue des Champions est plus serrée que jamais. Marseille, Lille, Monaco, Nice, Brest et Lyon se tiennent en quatre points. La prochaine journée, qui verra l’OM affronter Lille, s’annonce comme un choc direct pour le podium. Ce match pourrait redistribuer les cartes, en particulier pour la deuxième place, synonyme de qualification directe pour la phase de groupes de la C1.
Pour l’OM, l’équation est simple : conserver cette dynamique. Pour Brest, il s’agira de rebondir rapidement pour ne pas hypothéquer une saison jusque-là historique.