🟢🟡🔴🔵 Ligue 1 – Arc-en-ciel : Lyon se noie dans un chaudron vert chauffé à blanc, après un carton rouge transformé en jaune et un gros bleu sur la cheville de Tolisso
🎨 Un match en technicolor, une soirée en monochrome pour l’OL
Ce dimanche, à Geoffroy-Guichard, la Ligue 1 a expérimenté une nouvelle charte graphique émotionnelle :
- Du vert incandescent côté stéphanois,
- Du rouge de la colère côté lyonnais,
- Du jaune douteux dans la poche de l’arbitre,
- Et du bleu bien profond sur la cheville de Tolisso.
Le tout filmé par une VAR en noir et blanc, sponsorisée par Windows 95.
🟥🔄🟨 Stassin : la palette de l’impunité
Lucas Stassin, joueur de foot ou peintre expressionniste belge, a débuté son chef-d’œuvre dès la 10e minute : un coup de tête piqué en pleine lucarne et une célébration digne d’un clip de Jul version gothique.
Mais quelques minutes plus tard, il se transforme en Jackson Pollock des crampons, avec un tacle aérien sur Tolisso, digne d’un ballet contemporain intitulé « L’éviscération d’un milieu relayeur ».
💥 Carton rouge sorti…
🧘 Puis re-rangé lentement après concertation avec le VAR et l’apparition d’un colibri dans le ciel stéphanois.
« Une teinte de rouge trop violente, on préfère le pastel », a déclaré Letexier depuis sa cabine chromatique.
🖼️ Galerie des horreurs (et des incohérences)
🎯 Stassin reste sur le terrain, marque un second but, et devient hologramme vivant de l’injustice.
🪙 Un arbitre assistant prend une pièce en pleine tempe, mais apparemment c’était une monnaie commémorative de l’Euro 2016, donc ça compte pas.
🔧 Pendant ce temps, la VAR hésite encore entre pause, retour au direct ou rediffusion de C’est pas sorcier – la justice sportive.
🧙 L’arbitre Letexier, homme du match et chamane chromatique
François Letexier, désormais nominé au Festival de Cannes dans la catégorie « meilleure adaptation d’un règlement », a officié en full improvisation :
Action | Couleur émotionnelle attribuée |
---|---|
Tacle de Stassin | Jaune tournesol |
Cheville de Tolisso | Bleu nuit |
Fureur de Textor | Rouge Ferrari |
Cerveau de la VAR | Gris nuageux |
Arbitre assistant touché | Violet mystique (avec pleurs) |
💬 Florilège de commentaires façon arc-en-ciel de haine
🌋 Rouge sang (et colère) :
« Le VAR c’est un dealer de faux espoirs. »
🟡 Jaune fluo (et ironie) :
« Merci Letexier, MVP avec mention pastis-citron. »
🔵 Bleu nuit (et désespoir) :
« C’est plus un match, c’est une installation contemporaine. »
🟢 Vert acide (et troll) :
« Sainté a eu 12 joueurs, dont un s’appelle François. »
🌈 Verdict : le football français repeint par un enfant de 4 ans sous acide
En résumé : un match où la logique s’est perdue dans un nuancier Pantone, où la justice a été repeinte à la gouache, et où Saint-Étienne s’offre un peu d’espoir dans la grisaille de la relégation, pendant que Lyon sort de là plus frustré qu’un fan de Game of Thrones devant le dernier épisode.
Mais sinon, en vrai, c’était quoi ce match ?
Derby en tension : victoire de Saint-Étienne 2-1, polémique autour de l’arbitrage
L’AS Saint-Étienne a remporté le 125e derby du Rhône contre l’Olympique Lyonnais (2-1), un match capital dans la lutte pour le maintien. Grâce à un doublé de Lucas Stassin, les Verts remontent au niveau du Havre (27 points), à trois points du premier non-relégable.
Le match a été entaché par deux controverses majeures :
- Un tacle sévère de Stassin sur Tolisso, initialement sanctionné d’un carton rouge, transformé en carton jaune après intervention du VAR.
- Un jet de projectile ayant blessé un arbitre assistant, provoquant l’interruption du match durant 40 minutes. Contrairement à d’autres cas similaires (ex : Montpellier plus tôt dans la saison), la rencontre a repris.
Ces décisions ont suscité une levée de boucliers, notamment côté lyonnais. La commission de discipline pourrait ouvrir une enquête, mais pour l’heure, aucune sanction immédiate n’a été prononcée.
Sportivement, l’OL n’a pas su hausser son niveau malgré une fin de match offensive. Saint-Étienne, lui, a su faire preuve de combativité, confirmant sa dynamique positive en 2025.