L’article sous-traitée :🎾 Björn Borg : le seul joueur à sniffer des lignes sans commettre de faute de pied
📰 Borg : légende du tennis… et du rail non ferroviaire
Suède, 2025 — Longtemps considéré comme un dieu du tennis, Björn Borg vient de révéler qu’il a aussi été, dans les années 80, le roi incontesté… de la ligne. Pas la baseline. La Colombienne.
Dans Hjärtslag, ses mémoires fraîchement sorties, Borg balance tout : sa passion pour les raquettes, les revers liftés… et la poudre magique des soirées new-yorkaises.
« La première fois que j’ai goûté à la coke, j’ai retrouvé le frisson d’un ace sur balle de match. Mais sans transpirer. »
Et là, tout prend sens.
💡 Des signes qu’on avait sous le nez depuis le début
Tout au long de sa carrière, Björn Borg nous a laissé des indices :
Comportement suspect | Interprétation 2025 |
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Il reniflait la ligne avant chaque service | Cérémonie de pré-match… ou prélèvement nasal ? |
Il demandait des courts « plus nets » | Le coach pensait au drainage. Lui, à la pureté. |
Il appelait les ramasseurs « mes petites mules » | On croyait à une tendresse paternelle… |
Il se frottait le nez plus souvent qu’un skieur à Val-d’Isère | Pas besoin d’anti-sèche pour celle-là. |
Dans son match légendaire contre McEnroe, il aurait vu un pigeon lui parler en russe. Normal, c’était une finale en 5 sets et 5 grammes.
🕺 Studio 54, le vrai court central de Borg
La raquette dans une main, le flair dans l’autre, Borg fréquentait la crème de la jet-set dopée à l’époque disco : Andy Warhol, Cher, un type déguisé en cheval, et probablement la moitié de la planète branchée entre 1978 et 1982.
Il raconte :
« Le DJ mixait, les stroboscopes clignotaient, et moi je suivais les lignes. Comme d’habitude, sauf que là, c’était pas la terre battue. »
👨⚕️ Descente plus brutale qu’un retour de Nadal
- Borg s’effondre sur un pont hollandais. Non, pas pour tester sa souplesse, mais après une session trop intense — et on ne parle pas de squash. À son réveil, son père le regarde sans un mot. Silence. Malaise. Défaite par KO.
« J’étais au fond du trou… sauf qu’il était tapissé de moquette orange. »
🔮 L’alerte était dans le look
- Le bandeau trop serré ? C’était pas pour la sueur, c’était pour retenir les pensées.
- Le regard vide ? C’était pas de la concentration, c’était une latence.
- Le polo ouvert sur la poitrine ? C’était l’entrée VIP du « distributeur automatique » personnel.
Le tout dans une ambiance de fin de décennie où les shorts étaient plus courts que les nuits de sommeil et où « faire un tie-break » signifiait parfois partager un rail avec Grace Jones dans les toilettes d’un Concorde.
⚠️ Anecdotes qu’on croyait exagérées mais non
- Il aurait demandé à Roland-Garros de sponsoriser le terrain avec du sucre glace.
- Il refusait de jouer sur gazon, car « ça cache les lignes ».
- Il aurait une fois demandé si le filet pouvait être remplacé par une paille géante.
- Il disait à chaque match : « Je vais me mettre sur la ligne », mais c’était pas au sens tactique.
L’Histoire vraie : – Le fond (court) sérieux de l’histoire
Dans Hjärtslag, son autobiographie parue en 2025, Björn Borg revient pour la première fois sur sa consommation de cocaïne durant les années 80. Ce chapitre méconnu de sa vie est raconté avec honnêteté et recul, à côté d’autres épreuves, comme son combat actuel contre un cancer de la prostate.
L’ancien champion de tennis, aujourd’hui âgé de 69 ans, évoque comment la fête et l’excès ont remplacé le sport après sa retraite prématurée à 26 ans. La drogue, omniprésente dans les soirées mondaines de l’époque, l’a entraîné dans une spirale de dépendance. Il décrit notamment un épisode marquant : son malaise en 1996 sur un pont aux Pays-Bas, qui a agi comme un électrochoc.
Aujourd’hui, Borg affirme mener une vie saine, loin des courts, mais proche d’une routine sportive régulière. Ce témoignage met en lumière les vulnérabilités souvent cachées des champions, et la difficulté d’un retour à la normalité après les sommets de la gloire.