🏨 PSG – Aston Villa : Les Villans en week-end à Paris, 3 buts, 0 souvenirs, un prince qui fait la gueule
✈️ Les Anglais sont venus voir la Tour Eiffel, ils sont repartis avec une visite guidée du Parc
Ce 9 avril 2025, Aston Villa s’est pointé à Paris pour le quart de finale aller comme un groupe de lycéens en voyage scolaire : appareils photo autour du cou, short au-dessus du genou, et zéro plan de jeu.
Le PSG, lui, les attendait en mode AirB’nBallon. Résultat : 3-1, la chambre double avec vue sur la lucarne de Kvaratskhelia était bien réservée.
« Je pensais qu’on allait voir Mbappé. Finalement j’ai vu Mendes. C’était pas prévu, mais ça piquait aussi. »
— Un supporter de Birmingham en larmes sur les bords de Seine.
📷 Itinéraire d’un touriste paumé : du but de Rogers à l’oubli collectif
À la 35e, Aston Villa plante un pion. Morgan Rogers marque sur une action sortie de nulle part, digne d’un flash mob organisé dans un centre commercial : inattendu, mal cadré, mais ça fait du bruit.
Les Villans exultent, les 2000 supporters anglais font sauter les pintes de Kronenbourg importées en douce.
Mais comme souvent à Paris : faut pas se réjouir trop tôt. Deux minutes plus tard, Doué répond avec une frappe sous barre qui a fait lever plus de téléphones que la Joconde.
📸 Prince Harry dans les tribunes : du smile royal à la grimace princière
Présent au Parc, Prince Harry avait mis sa plus belle casquette pour soutenir les Villans. À 1-0, il lève les bras, selfie avec William (ou son sosie roux ?), moue conquérante.
Mais à la 90e, quand Mendes rentre une praline venue d’une autre dimension, on voit Harry, seul, muet, l’air plus perdu qu’un GPS Brexit.
« C’est la deuxième fois que Paris me fait ça. La première, j’étais trop jeune. La deuxième, j’aurais dû rester à Londres. »
— Humour noir royalement validé.
👑 D’ailleurs, en hommage à Lady Di, la direction du Parc avait demandé aux Parisiens de ne pas écraser les visiteurs. Malheureusement, Doué, Kvara et Mendes avaient coupé le son.
🗺️ Paris version Villa : le guide du raté culturel
| Jour | Activité prévue | Activité réelle |
|---|---|---|
| Mercredi matin | Tour Eiffel 📍 | Vu du bus en se faisant doubler par Mendes 🏃♂️ |
| Après-midi | Musée du Louvre 🎨 | Tête de Rashford exposée dans la surface 🎭 |
| Soirée | Dîner croisière 🥖 | Naufrage tactique sur la Seine footballistique ⚓ |
🎤 Conférence de presse façon Airbnb
Unai Emery, l’ancien du Parc, était visiblement venu récupérer ses affaires. Il a quitté la conf’ comme on quitte un logement qu’on a mal noté :
« Paris, toujours aussi bruyant. On avait pas pris l’option ‘clean sheet’. »
Pendant ce temps-là, Luis Enrique envoyait des cœurs avec les mains à Kvara, Mendes et Doué. Apparemment, les mecs dorment à l’INSEP, mangent du quinoa, et rêvent en 4-3-3.
🅑 PARTIE B – Analyse réaliste du match et contexte
Le PSG a dominé Aston Villa 3-1 dans un match aller des quarts de finale de la Ligue des champions marqué par une large supériorité technique et tactique. Malgré une ouverture du score contre le cours du jeu par Rogers, Paris n’a jamais paniqué.
L’équipe de Luis Enrique a contrôlé le match avec 74 % de possession, 29 tirs (11 cadrés), et des individualités en grande forme : Désiré Doué, Khvicha Kvaratskhelia et Nuno Mendes ont chacun marqué un but, confirmant l’impression de rouleau compresseur parisien.
Le match s’est déroulé dans une ambiance festive, mais avec un enjeu très sérieux : le PSG, qui vise enfin une deuxième finale européenne après celle de 2020, affrontera au retour une équipe de Villa obligée de renverser la tendance.
À noter la présence du Prince Harry en tribunes, supporter notoire des Villans. Sa présence a été largement commentée, notamment après la perte d’enthousiasme manifeste suite au troisième but parisien.
