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L’article sous-traitée :🏁 27 septembre 1993 : Alain Prost remporte son 4e titre de F1… avec le nez creux
🏆 Prost, le seul pilote à avoir pris la F1… par les narines
Ce jour-là, à Estoril, Alain Prost entre définitivement dans l’histoire de la Formule 1. Avec sa Williams-Renault suréquipée et son instinct légendaire, il décroche son quatrième sacre mondial. Mais plus que ses mains, ses pneus ou son cerveau… c’est son nez qui fait la différence.
🎙️ « Il sentait les trajectoires comme un chien truffier sous EPO », selon un journaliste de la rédaction Turbo, probablement en roue libre.
👃 Un appendice qui change la trajectoire
Dans les paddocks, le secret est bien gardé : Prost possède un capteur olfactif naturel de dernière génération. Un museau d’ingénieur. Un radar frontal homologué FIA.
Une enquête (non approuvée par l’OMS ni par l’équipe Top Gear) a révélé que le nez de Prost pouvait détecter :
- un virage mal négocié à 600 m
- une tentative de dépassement par l’arrière
- un sandwich triangle oublié dans le cockpit depuis Spa
🔬 Données confidentielles du FIA Nasal Performance Index :
Pilote | Surface nasale active | Détection virage | Risque de reniflage en virage |
---|---|---|---|
Alain Prost | 48 cm² | 97 % | 2 % |
Ayrton Senna | 21 cm² | 88 % | 4 % |
Jean-Pierre Jabouille | 6 cm² | 35 % | 23 % (surtout à Monaco) |
🧙♂️ Entre magie, flair et vengeance : Prost, le druide des stands
Des témoins affirment qu’en 1993, Alain Prost aurait ressenti une dépression atmosphérique sur le vibreur gauche rien qu’en inspirant par la narine droite. Son ingénieur de course, Bernard Chevalin, aurait même dû renforcer son casque pour éviter les turbulences internes.
⚔️ « On pensait qu’il calculait tout. Mais en fait, il flairait. C’était un flairmaturge », confie un ex-mécano sous couvert d’anonymat (et de casque anti-bruit).
Les mauvaises langues disent que Senna n’a jamais digéré cette supériorité « nasale » — pourtant, en 1993, il en avait plein le nez.
🎭 La légende du « Museau Professeur »
Ce quatrième sacre ne marque pas seulement la fin d’une ère. C’est aussi la consécration d’un organe sous-estimé. D’aucuns parlent de nez providentiel, d’organe totem, voire de spoiler naturel.
🗣️ « J’ai toujours misé sur mon flair. À défaut d’ailes, j’avais un aileron nasal », aurait-il déclaré entre deux bouchées de fromage.
L’année suivante, Prost prend sa retraite, laissant derrière lui un palmarès légendaire, une rivalité mythique avec Senna, et une empreinte nasale sur le sport automobile.
Réalité et faits historiques 🧠
🏎️ Alain Prost, champion du monde 1993 : une sortie en majesté
Le 27 septembre 1993, Alain Prost devient pour la quatrième fois champion du monde de Formule 1, grâce à une saison maîtrisée au volant de la Williams-Renault FW15C, une voiture technologiquement très en avance.
Sa domination est incontestable : avec dix podiums et sept victoires cette saison-là, il surclasse ses concurrents, notamment Ayrton Senna, pourtant toujours redoutable. Leur rivalité, marquée par des tensions vives à la fin des années 80, s’apaise peu à peu au fil de la saison.
Le pilote français décide de se retirer de la compétition après ce dernier titre. Son palmarès restera dans l’histoire : 51 victoires, 4 titres mondiaux, et une réputation de stratège hors pair.