🎾🍆 Sinner out à Roland-Garros : Rocco Siffredi lui envoie son soutien… et nie toute implication génétique malgré une passion commune pour les manches

Quand la balle sort… mais que la rumeur entre bien profond

Paris, Porte d’Auteuil – La terre battue n’a jamais été aussi fertile en rumeurs. À peine Jannik Sinner a-t-il quitté le court central, éliminé en demi-finale de Roland-Garros, qu’Internet s’est enflammé : Sinner serait-il le fils illégitime de Rocco Siffredi ? Ou au moins, son clone avec un sponsor en latex.

Les indices ? Une mâchoire italienne taillée à la Dolomites, des bras faits pour tenir une raquette (ou un… objet contondant), et une endurance digne d’une scène en plan-séquence. Bref, une filiation plausible pour les fans de généalogie NSFW.

« Il a mon regard, mais pas ma position préférée », a plaisanté Rocco sur Instagram, avant d’ajouter :
« Ce n’est pas parce qu’on vit tous les deux de nos balles qu’on est père et fils. »

Deux carrières, un même filet à franchir

Tennisman ou performeur porno, le but est le même : faire rugir la foule tout en gardant son sang-froid dans des positions peu naturelles. Les comparaisons fusent comme des aces :

Jannik, gentleman nord-italien, reste stoïque face aux moqueries. Lors de la conférence de presse d’après-match, il a simplement déclaré :

« Je n’ai jamais tourné avec Clara Morgane, désolé. Mon seul plan à trois, c’était en double mixte avec Bolelli. »

Rocco Siffredi : “Je suis père de deux garçons. Et 8 000 traumatismes”

Il fallait que quelqu’un mette fin aux fantasmes (au sens figuré, cette fois). Rocco, en chemise ouverte façon papa des années 90 sur une péniche, a tenu à clarifier la situation :

« Je respecte Sinner. Mais soyons clairs : je n’ai pas fécondé le circuit ATP. »

Une déclaration limpide, même si elle n’exclut pas un don de raquette à la maternité. On notera quand même que dans leur jeu :

• Rocco préfère le jeu au fond du court
• Sinner, lui, attaque au filet sans complexe

Et dans les deux cas, “le cri est souvent plus fort que le résultat”, selon un fan de tennis légèrement trop enthousiaste (et abonné à Dorcel+).

Le hashtag qui dérange : #LikeAFatherLikeAServ

Sur Twitter, la ressemblance a été massivement commentée. Certains montages montrent Sinner en tenue blanche, une serviette autour du cou, regard caméra, avec la légende :
« Rocco Siffredi Junior – mais avec du gel pour les cheveux, pas ailleurs. »

Le CM de Roland-Garros s’est senti obligé de répondre par un tweet (vraiment gêné) :

“Merci de ne plus taguer Rocco dans les stories de joueurs. C’est un tournoi familial. #OnVousVoit”

Netflix dans le coup ? Un biopic entre sueur et lubrifiant

Des fuites (encore !) laissent entendre qu’une mini-série italienne serait en préparation :
“Sang chaud, balle froide”, où un jeune tennisman apprend que son père biologique est une légende du cinéma pour adultes. Il tente alors de “réparer la raquette brisée de son passé”.

Casting pressenti :

• Le jeune Sinner joué par Lorenzo Zurzolo
• Rocco par Pierfrancesco Favino, avec un faux pénis en CGI
• Une apparition de Nadal en voisin gêné

On murmure même que la bande originale contiendrait un remix deep-house du générique de Question pour un champion, pour la scène de l’orgasme final. Sportif, bien sûr.

Traitement réaliste

Jannik Sinner : le prodige du Tyrol continue sa montée malgré la défaite

Né en 2001 à San Candido, Jannik Sinner a connu une ascension fulgurante sur le circuit ATP. Ancien champion de ski, il s’est tourné vers le tennis à l’adolescence et s’est rapidement fait remarquer par sa régularité, sa puissance et une maturité impressionnante. En 2024, il remporte son premier Grand Chelem à Melbourne et devient le premier Italien n°1 mondial.

Sa défaite à Roland-Garros en juin 2025 face à Carlos Alcaraz, dans un match très disputé, n’entame en rien sa légitimité. Sinner reste l’un des joueurs les plus prometteurs de sa génération.

Rocco Siffredi : du mythe X au mentorat sobre

Icône du X depuis les années 90, Rocco Siffredi, aujourd’hui âgé de 60 ans, a tourné plus de mille films et dirigé sa propre école de cinéma pour adultes. Connu pour son franc-parler et une présence hors normes, il a su faire évoluer son image : du hardeur provocant au père de famille charismatique.

Régulièrement invité dans des talk-shows italiens, il défend une vision « respectueuse » de son milieu, bien loin des clichés bruts. Il a deux fils, mais aucun ne s’appelle Jannik. À sa connaissance.

La confusion médiatique : miroir des réseaux

L’affaire Sinner-Siffredi, née de simples traits physiques communs, illustre la manière dont les réseaux sociaux fabriquent des narratifs parallèles, entre rumeur virale et second degré. Si cela peut prêter à rire, cela rappelle aussi combien la frontière entre admiration, voyeurisme et moquerie est fine — surtout quand elle est floutée par des filtres Snapchat et des tweets douteux.